Interview : Jérôme Defaye raconte son métier de Délégué Mudetaf dans l'Ouest !

Comme vous le savez, à la Mudetaf, nous avons toujours eu à cœur d’être proches de nos sociétaires et de nos partenaires. Dans cette recherche de proximité avec vous, nous souhaitons mettre à l’honneur les délégués de vos régions qui sont sur le terrain, directement à votre contact.

- Présentation 

Jérôme, 47 ans, arrivé à la MUDETAF en juin 2019. Après une première vie dans le monde du tourisme et des voyages, j’ai fait mes premiers pas dans l’assurance en 2001. Depuis 20 ans j’ai exploré ce métier sous différents angles : assureur vie d’abord puis agent et courtier, j’avais déjà eu dans le passé une expérience chez un assureur mutualiste dédié aux commerçants.

- Comment perçois-tu ton rôle de délégué régional ? 

Je me définis en quelque sorte comme le garant de la MUDETAF sur mes 5 départements. Bien évidemment nous travaillons en équipe et en confiance avec les collègues parisiens, mais sur le terrain nous sommes les yeux et la tête pour que chacun s’y retrouve, c’est la garantie de notre équilibre et donc de notre avenir. Chaque sociétaire est unique, il faut savoir écouter pour analyser les attentes et y répondre au cas par cas. C’est toute cette différence que l’on revendique en tant que spécialiste du tabac et du secteur CHR.

- À quoi ressemble une de tes journées types ? 

La journée type, c’est généralement un petit marathon établi entre des rendez-vous chez des sociétaires et de nouveaux clients, le tout agrémenté de visites d’opportunités chez d’autres buralistes en fonction de l’itinéraire et du timing (les secteurs sont vastes)... Sans compter les urgences et les sinistres qui bouleversent l’agenda car nos sociétaires comptent sur nous en cas de coups durs (vol, agression, incendie etc…).

- Qu’est-ce qui t’a motivé à intégrer une assurance mutualiste ?

Assureur mutualiste, c’est un modèle économique simple et vertueux. La satisfaction du client assure notre pérennité : elle est notre carburant.  Nous sommes d’abord des techniciens avant d’être des commerciaux. Il nous appartient de délivrer un message clair. C’est à nous de nous adapter à chaque situation avec bon sens et pragmatisme. Et il est inutile de promettre ce que l’on ne peut tenir... Et surtout, finalement, nous ne nourrissons pas des fonds de pensions. L’assurance est pour nous une fin, et non pas un moyen.

- Qu’est-ce qui t’a séduit dans ta région ? 

Ma région... Pas de blabla, avant la MUDETAF je n’y avais jamais mis les pieds. Mais au-delà du job, je découvre chaque jour de jolis coins de France avec leurs paysages, leurs particularités et surtout leurs buralistes tous différents : commerçants de quartiers, ruraux ou encore saisonniers.

- Quel a été ton rôle durant les deux dernières années ? Est-ce que cela a changé ou va changer ton métier ?

Mon arrivée sur le secteur est encore récente, je suis toujours en phase de découverte et conscient qu’il faut investir dans la durée, c’est mon choix. Et mon employeur me donne le temps et les moyens d’établir avec notre sociétariat une vraie relation de confiance, c’est juste primordial dans notre métier si décrié. 

- As-tu une anecdote relative à ton rôle de délégué régional ?

Une anecdote... non pas particulièrement, mais ce que j’apprécie c’est cet accueil qui nous est réservé : simple et convivial, nous faisons partie de la famille des buralistes, du décor de la profession, et dans nos vies d’itinérants solitaire, c’est précieux.

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